vendredi 1 avril 2011
mardi 27 avril 2010
Démarche
Avant d’entreprendre la maîtrise, ma pratique photographique était principalement axée sur l’expérience de mon corps dans un espace domestique. Par mes travaux, je cherchais à capter l’attention du spectateur en misant sur l’incongru de la situation photographiée pour qu’il investisse l'image de manière affective. À l’intérieur de ces mises en scène, je performais devant la caméra en me soumettant à une épreuve sensorielle. J’ai ainsi commencé à m’interroger sur ce qu'advenait l’intensité de mes actes, une fois photographiés et imprimés.
Je suis entrée à la maîtrise dans le but d’étudier des moyens permettant de modifier la condition de l’artiste-performeur devenu image, pour tenter de prendre le spectateur à parti dans un dispositif qui l’incorporerai à mes œuvres, pour qu'il prenne, d'une certaine manière, le rôle que j’occupais autrefois dans mes photographies. Cette recherche donne lieu à des installations qui induisent le spectateur dans une expérience participative de la « scène » : il devient un visiteur-acteur, dont la présence génère une image pour les autres spectateurs.
Je suis entrée à la maîtrise dans le but d’étudier des moyens permettant de modifier la condition de l’artiste-performeur devenu image, pour tenter de prendre le spectateur à parti dans un dispositif qui l’incorporerai à mes œuvres, pour qu'il prenne, d'une certaine manière, le rôle que j’occupais autrefois dans mes photographies. Cette recherche donne lieu à des installations qui induisent le spectateur dans une expérience participative de la « scène » : il devient un visiteur-acteur, dont la présence génère une image pour les autres spectateurs.
vendredi 23 avril 2010
Maquette de mon projet de fin de maîtrise
L'installation sur laquelle je travaille présentement est constituée de deux structures, un espace d’observation et d’activation, qui conditionne notre perception de l’espace, que je nomme «poste», et le résultat de ce qui se produit à l’intérieur du «poste» que je nomme «tableau».
Dans mon travail, le «poste» est un espace diaphane, constitué de photographies imprimées sur acétate et placé parallèlement l’une à l’autre. Une lumière traverse ces photographies et les projette, fusionnées et créant un tout, sur un écran, le «tableau». Cet écran est visible de l’extérieur de l’installation. Par contre, les visiteurs sont invités à entrer dans la structure et à se promener entre les photographies imprimés sur acétate. Ils peuvent ainsi revisiter individuellement chaque fragment de l’image perçu plutôt à leur arrivé. Leur corps sera par le fait même aussi projeté et rajouté en ombre chinoise sur l’écran.
Un point essentiel de mes recherches est que dans un même moment de l’installation, il est les visiteur-acteurs et les visiteurs-spectateurs, séparés les uns des autres. L’essentiel de leurs activités, ce pourquoi ils ont été mis dans un même ensemble, c’est pour que certains agissent en un lieu qui est pour les autres le lieu du regard. Mon installation est donc constituée de deux scènes à observer : celle que le visiteur-acteur perçoit à l’intérieur du poste, ainsi que celle sur laquelle l’ombre de son corps se projette, le « tableau » qui est observable par autrui, un visiteur-spectateur. Le visiteur se voit ainsi devant le choix de deux participations différentes : face à l’œuvre ou dans l’œuvre, deux explorations deviennent possibles : en tant que témoin, ou en tant qu’élément constitutif.
samedi 6 décembre 2008
Installation Expo Toutes N.O.U.S.
Ce projet à été présenté lors de l’exposition « Toutes N.O.U.S. » où sept finissantes de l’UQÀM au Bacc. en art visuels et médiatiques reconsidéraient avec humour le statut de l’artiste tout en proposant leurs points de vue sur certains stéréotypes ancrés dans notre société.
Collectif N.O.U.S.
N.O.U.S. nous sommes d’abord rencontrées, puis N.O.U.S. nous sommes regroupées par envie de discuter et d’échanger. N.O.U.S. souhaitons créer ensemble, N.O.U.S. voulons nous influencer et nous enrichir mutuellement. N.O.U.S. questionnons les notions d’identité collective et les différents rôles d’un individu dans un groupe. N.O.U.S. abordons ces notions autant au sein des œuvres que dans le choix des thématiques d’exposition ou encore dans la composition et la réalisation même des projets communs. Notre collectif prend naissance dans un monde où s’imposent les structures, les catégories, les hiérarchisations, les contraintes et les critères qui, lorsque nous leur accordons trop d’importance, ne font que diviser encore plus notre collectivité. Pour N.O.U.S. l’esprit de regroupement prône, c’est pourquoi N.O.U.S. présentons un projet collectif sous un N.O.U.S. fictif et mouvant.
N.O.U.S. nous sommes d’abord rencontrées, puis N.O.U.S. nous sommes regroupées par envie de discuter et d’échanger. N.O.U.S. souhaitons créer ensemble, N.O.U.S. voulons nous influencer et nous enrichir mutuellement. N.O.U.S. questionnons les notions d’identité collective et les différents rôles d’un individu dans un groupe. N.O.U.S. abordons ces notions autant au sein des œuvres que dans le choix des thématiques d’exposition ou encore dans la composition et la réalisation même des projets communs. Notre collectif prend naissance dans un monde où s’imposent les structures, les catégories, les hiérarchisations, les contraintes et les critères qui, lorsque nous leur accordons trop d’importance, ne font que diviser encore plus notre collectivité. Pour N.O.U.S. l’esprit de regroupement prône, c’est pourquoi N.O.U.S. présentons un projet collectif sous un N.O.U.S. fictif et mouvant.
mardi 29 avril 2008
Installation robe rouge
Dans la première section, les gens sont invités à se placer devant une caméra, sous une ligne rouge qui représente ma grandeur.
Dans la deuxième section, leurs visages apparaissent sur les fils blancs qui soutiennent ma robe, ainsi que dans l'ombre de celle-ci.
Je suis dans la salle avec la même robe rouge que celle qui est sur la sculpture.
Dans la deuxième section, leurs visages apparaissent sur les fils blancs qui soutiennent ma robe, ainsi que dans l'ombre de celle-ci.
Je suis dans la salle avec la même robe rouge que celle qui est sur la sculpture.
mardi 22 avril 2008
lundi 21 avril 2008
dimanche 20 avril 2008
Installation Ile aux amours
Île aux amours, 2007, bande vidéo projetée sur une pierre et dispositif photographique dans un anneau de métal.
Pierre : 9x11 pouces
Pièce circulaire : 28x28x11 pouces
Pierre : 9x11 pouces
Pièce circulaire : 28x28x11 pouces
Lorsque l’on entre à l’intérieur de la pièce circulaire, un montage photo a été réalisé de manière à recréer la vision périphérique d’une l’île. Mon dessein était de faire ressentir aux lecteurs l’isolement que peut « vivre » une île, la possibilité de l’incarner poétiquement.
samedi 19 avril 2008
Sans titre
Sans Titre, 2007, sculpture sonore, 13x18 pouces
(Une diffusion sonore qui ne peut être entendu de l’extérieur est émise à l’intérieur de la maison de métal qui amplifie le son par sa caisse de résonance. Le tout est capté en direct, dans la maison, avec un micro omni et peut être entendu seulement avec des écouteurs. Lorsque les gens touchent à la maison, les bruits qu’ils produisent peuvent être aussi entendu dans les écouteurs.)
(Une diffusion sonore qui ne peut être entendu de l’extérieur est émise à l’intérieur de la maison de métal qui amplifie le son par sa caisse de résonance. Le tout est capté en direct, dans la maison, avec un micro omni et peut être entendu seulement avec des écouteurs. Lorsque les gens touchent à la maison, les bruits qu’ils produisent peuvent être aussi entendu dans les écouteurs.)
vendredi 18 avril 2008
jeudi 17 avril 2008
Quelques photographies
jeudi 13 mars 2008
Sans titre
mercredi 12 mars 2008
lundi 10 mars 2008
Sans titre
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